« La grappa était très bonne. Merci également pour le livre de l'Arétin. Je comprends fort bien le sens général (et notre lettre à De Donato m'a heureusement appris un mot essentiel ["Sgualdrina" (catin, salope)], que j'aurais peut-être pu tout de même décrypter en considérant sa fréquence). Pour goûter les plus fines nuances du texte, il me faudra obtenir la collaboration de quelque petite fille italienne. J'y penserai. »
(Lettre de Guy Debord à Gianfranco Sanguinetti, 6 novembre 1969.)